Poursuite de notre family trip: Los Angeles. Nous sommes restés deux jours dans la Cité des Anges, après avoir passé Noël à Davis. La route Sacramento-Davis est pour le moins monotone. 6 heures pendant lesquelles on a vu... ben pas grand chose, si ce n'est ces "montagnes", des fermes pour futurs hamburgers, des vergers d'orangers... Bref rien de vraiment excitant. Mais arrivés à Los Angeles dans l'après-midi, nous nous sommes balladés sur Santa Monica Boulevard, au soleil, l'océan, les palmiers.
Bon là, à part Gérard, ils font un peu la gueule, mais on est quand même au bord du Pacifique, entre Santa Monica et Malibu... Excusez du peu!
Et comme la chantilly, le coulis de fraises, les fraises et le sucre glace, ça faisait un peu léger, on avait aussi le choix de rajouter au moins 5 sortes de sirops.
En sortant du restaurant, Gérard, déjà très copain avec les cops américains, a eu droit à une photo (et moi aussi). A ce moment là, on ne savait pas qu'on allait en revoir bientôt...
Toujours dans Downtown, devant le City Hall. Alors un mot du "centre-ville" de Los Angeles, qui n'a de centre que le nom. Peu de voitures, peu de piétons: ça ressemble un peu au centre-ville du Mans, un dimanche matin d'hiver (enfin j'imagine).
Ensuite, direction Griffith Park, et son observatoire, où l'on peut voir le signe d'Hollywood.
le signe d'Hollywood.
A l'observatoire, on était encore naïfs et insouciants... On ne savait pas qu'au même moment, un Rangers profitait de l'ignorance de pauvres touristes français et dressait une contravention pour mauvais sationnement à notre magnifique Dodge.
Explication (parce que les détails, c'est important): il n'y a pas de véritables parkings à Griffith Park, les gens se garent le long de la route. On a le droit. Le truc par contre qu'on n'a pas le droit, c'est de se garer le long de la route, dans le sens opposé du sens de la marche, capishe? Voilà, voilà, on a écrit un beau chèque de 50 dollars à la ville de Los Angeles, et on est repartis...
Mais bon après tout... Los Angeles vaut bien 50 dollars... Coucher de soleil sur Venice Beach, un 26 décembre, on a vu pire.
Premiers orteils dans l'océan Pacifique.
Oh! le beau T-shirt!
Après tant de marche sur la plage, rien de tel qu'un steak, dans une vraie steakhouse, qu'on avait vue un peu plus tôt, et retrouvée sans GPS. Dans Los Angeles, on en est un peu fiers quand même.
Le serveur à la steakhouse... qui se prend en photo (sans que Gérard lui demande).
Route vers Hollywood:
Jésus mange mexicain.
Finalement, l'étoile de Michael Jackson.
Marylin, devant le Musée de Madame Thussaud.
Samuel L. Jackson.
Et puis, on refait ses valises, on s'en va, route vers Vegas (parce qu'il faut pas se laisser aller).
Bon là, à part Gérard, ils font un peu la gueule, mais on est quand même au bord du Pacifique, entre Santa Monica et Malibu... Excusez du peu! Notre auberge est située à Venice Beach, vue sur la plage. Première soirée à LA, sur la Marina. On cherchait une steakhouse, on mangera finalement mexicain.
Le lendemain matin, route vers Los Angeles Downtown, où on mange (encore une fois) le plus gros petit-déj' de l'histoire des petits-déj'. The preuve -->
Et comme la chantilly, le coulis de fraises, les fraises et le sucre glace, ça faisait un peu léger, on avait aussi le choix de rajouter au moins 5 sortes de sirops.
En sortant du restaurant, Gérard, déjà très copain avec les cops américains, a eu droit à une photo (et moi aussi). A ce moment là, on ne savait pas qu'on allait en revoir bientôt...
Toujours dans Downtown, devant le City Hall. Alors un mot du "centre-ville" de Los Angeles, qui n'a de centre que le nom. Peu de voitures, peu de piétons: ça ressemble un peu au centre-ville du Mans, un dimanche matin d'hiver (enfin j'imagine).
Ensuite, direction Griffith Park, et son observatoire, où l'on peut voir le signe d'Hollywood.
le signe d'Hollywood.
A l'observatoire, on était encore naïfs et insouciants... On ne savait pas qu'au même moment, un Rangers profitait de l'ignorance de pauvres touristes français et dressait une contravention pour mauvais sationnement à notre magnifique Dodge.Explication (parce que les détails, c'est important): il n'y a pas de véritables parkings à Griffith Park, les gens se garent le long de la route. On a le droit. Le truc par contre qu'on n'a pas le droit, c'est de se garer le long de la route, dans le sens opposé du sens de la marche, capishe? Voilà, voilà, on a écrit un beau chèque de 50 dollars à la ville de Los Angeles, et on est repartis...
Mais bon après tout... Los Angeles vaut bien 50 dollars... Coucher de soleil sur Venice Beach, un 26 décembre, on a vu pire.
Premiers orteils dans l'océan Pacifique.
Oh! le beau T-shirt!
Après tant de marche sur la plage, rien de tel qu'un steak, dans une vraie steakhouse, qu'on avait vue un peu plus tôt, et retrouvée sans GPS. Dans Los Angeles, on en est un peu fiers quand même.
Le serveur à la steakhouse... qui se prend en photo (sans que Gérard lui demande).Route vers Hollywood:
Jésus mange mexicain.
Finalement, l'étoile de Michael Jackson.
Marylin, devant le Musée de Madame Thussaud.
Samuel L. Jackson.Et puis, on refait ses valises, on s'en va, route vers Vegas (parce qu'il faut pas se laisser aller).
Pour être honnête, moi non plus je ne sais pas à quoi ressemble le centre ville du Mans un dimanche matin, parce que le dimanche matin... ben je dors!
RépondreSupprimerEn tout cas bien placée, la dédicace.
Dire que le même jour (26 décembre), on galérait à rejoindre la gare avec ma famille à cause de la neige qui s'était abattue sur Oslo les 3 jours précédents...
RépondreSupprimerIl faut dire Alex, que tu l'as bien mérité cette dédicace!
RépondreSupprimerKro, j'espère que tu nous raconteras tes vacances, illustrées si possible;-)