mercredi 28 octobre 2009

On the Road

Samedi 24 et dimanche 25 octobre, road trip sur la côte Pacifique, de Bodega Bay à Mendocino. Quelques 100 miles sur Coast Highway 1, dernière portion de la côte américaine protégée, c'est-à-dire qui n'est pas envahie par des villas de stars ou de milliardaires...

Et il faut dire que les milliardaires ont plutôt bon goût quand il s'agit de choisir une destination de vacances. Les paysages sont tout simplement impressionants, le vent est renversant et l'océan est infini.

Voilà, encore des banalités, mais honnêtement, les photos ne rendent pas vraiment justice à la réalité.

Sur la route, plusieurs escales dans les parcs nationaux: Bodega, Jenner, Fort Ross, Salt Point, un ancien camps russe dont j'ai oublié le nom, Gualala...















































Samedi soir, camping à Van Damne Camp Ground, tout près de Mendocino.
Mendocino est un tout petit village, 800 habitants, fondé vers 1850 par une communauté de bûcherons. Il est progressivement devenu un lieu plus ou moins branché pour artistes en mal de nature et grands espaces. Plusieurs films ont été tournés en partie ici, notamment Le Magnifique, A l'Est d'Eden, et surtout la série Arabesques (Murder, She Wrote en anglais...?)
Comme à chaque weekend camping, le menu reste le même: des burritos, quelques bières, et un feu parce que quand même, il fait frisquet. Note au passage, je suis devenue une pro du montage-pliage de tente (et c'était pas gagné au départ...)
Dimanche, réveil aux aurores, une biche mange juste à côté de la voiture. Petit-déjeuner dans le froid, pliage de tente, en voiture Simone, direction Humboldt Redwoods State Park. C'est là que sont les plus grands êtres vivants au monde: Redwoods de 113 mètres de haut, et vieux de plus de 1600 ans! Ballade sur la bien-nommée Avenue of the Giants.
Retour à Davis dans la soirée, en passant par the Wine Country, des vignes à perte de vue, le début des couleurs de l'automne, et des idées pour les prochains weekends... on the road again.












2 commentaires:

  1. Tu m'impressionnes : comment fais-tu pour voyager autant ?!

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  2. heu... je dirais que c'est une question de priorités. j'avoue que ça implique quelques aménagements d'emploi du temps et une productivité à l'heure assez intensive lorsqu'il faut que je travaille:)

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